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 Musiques | Actualités Vivre ensemble: hommes et animaux - par MONTAIGU le 16/12/2019 : 11:44 La nouvelle mairesse de la ville a interdit de chasser les phacochères au nom du droit des animaux 
		 A Haïfa, dans le nord d'Israël, des dizaines de familles de phacochères viennent pique-niquer en ville depuis que la nouvelle mairesse élue en novembre 2018, Einat Kalisch-Rotem, a interdit de les chasser au nom du droit des animaux. Troisième ville d'Israël avec ses 300.000 habitants, Haïfa est implantée au pied du Mont Carmel où vivent sangliers, renards, chacals et autres animaux sauvages, tous protégés par les lois israéliennes. Adeptes de plantes et de baies sauvages mais aussi fouilleurs de poubelles, les sangliers descendent depuis longtemps de nuit dans les rues de Haïfa en quête d'eau et de nourriture. Ces derniers mois, les citadins ont toutefois dit constater une recrudescence de ces omnivores, retournant la terre des jardins publics et renversant de larges poubelles pour y trouver des restes. Cette présence accrue suscite un intense débat local entre les défenseurs de la cause animale et des habitants cherchant par tous les moyens à se débarrasser de ces bêtes urbaines, que l'on voit désormais traverser les rues en plein jour, voire se reproduire dans les parcs publics. Jusqu'à l'élection de Mme Kamisch-Rotem l'an dernier, la ville permettait à des périodes précises d'abattre les sangliers afin de contrôler leur population. Mais la nouvelle mairesse, première femme à diriger l'une des trois plus grandes villes d'Israël, a mis fin à ces chasses au nom de leur droit à la vie. Haïfa est à majorité juive, avec une forte minorité arabe en grande partie musulmane. Or ni les juifs ni les musulmans ne mangent en théorie de porcs et de sangliers, considérés comme impurs. 
	 
	 Décès d'une activiste - par MONTAIGU le 15/12/2019 : 17:08 Site Espéranto - par MONTAIGU le 15/12/2019 : 16:47 
 
	 la revue MONATO - par MONTAIGU le 10/12/2019 : 13:17 Entretien encourageant. Voyez en E-oMusée espérantiste à Vienne - par MONTAIGU le 30/11/2019 : 17:27 Evènement important à Vienne. Evocation de l'histoire déjà longue de l'Espéranto.la journée Zamenhof - par MONTAIGU le 28/11/2019 : 11:19 Voir en E-o Proposition d'abonnement - par MONTAIGU le 21/11/2019 : 16:56 Du cinéma indien à la traduction - par MONTAIGU le 15/11/2019 : 12:30 « Je suis très fier d'être le premier à avoir traduit Slumdog Millionaire depuis les langues originales. , François-Xavier Durandy aime les mots.justes, pesés et les exprêssions millimétrées, à la lettre près. Quand il ne traduit pas pour des clients de l'industrie ou qu'il n'enseigne pas à Paris, il est auteur de doublages et de sous-titrages du hindi au français pour le cinéma et la télévision. Un ex- pert. En lnde, on le salue comme « le sous-titreur français des films Bol- lywood qui parle mieux le hindique la majorité des lndiens ». française, improvisent leur texte comme s'il n'y avait pas d'auteurs derrière », relève sobrement celui qui combine le français, l'allemand, l'an- glais, le hindi, le népalais et I'ourdou. aux joies de la traduction. Et c'est en intégrant l'École supérieure d'in- terprètes et de traducteurs (Esit), à Paris Dauphine, qu'il a découvert l'existence de l'lnstitut national des langues et civilisations orientales (lnalco), dont le siège était situé à l'étage du dessous. " C'est comme ça que le hindi m'est tombé des- SUS»! comme un acteur incontournable sur la scène mondiale, " Et, aujourd'hui, le principal promoteur de la langue hindi, c'est bien le cinéma indien, Bollywood !" fenêtre ! " Ce qui l'intéresse le plus, c'est de traduire directement depuis le hindi comme langue source. Les plateformes comme Netflix ont " hé- 1ss » pris l'habitude de tout traduire à partir de l'anglais. Son savoir-faire est reconnu dans le métier. En 2015, il a obtenu le Graal du sous-titrage avec le prix ATAA pour Ugly, qui, à l'époque, déboulait sur les écrans comme " la nouvelle bombe du cinéma indépendant in- dien ". Pourtant, son activité reste « assez peu connuê ,f, Constate-t-il. " Ne croyez pas que les comédiens, comme Gad Elmaleh ou Jamel Debbouze, qui doublent en version 
									signes à la seconde , meilleure décision ! " François-Xavier Durandy se sou- vient du tout premierfilm indien qu'il a vu. C'était Coolle (1983). « L'intrigue est compliquée et, avec les sous- titres, ça a créé une expérience de visionnement très étrange. En fait, c'est un peu triste, mais j'ai beau- coup ri, car les sous-titres étaient totalement insensés. Le métier a connu une nouvelle vi- talité avec I'essor des plateformes de streaming et de VOD (vidéos à la de- mande). " Lesauteurs d'adaptation audiovisuelle prennent de plus en plus de Flace. » François-Xavier Durandy ne vi- sionne pas le film avant de le sous-ti- trer ou de le doubler. " C'est comme une superstition. " Pour avancer, le traducteur s'appuie sur les images autant que sur le script. " Car nous ne traduisons pas les mots mais le sens. Et il faut regarder les expres- sions des acteurs pour prendre la u Les pronoms, le. genre et les éléments culturels se perdent à Ia traduction. Quelle que soit la qua- lité de la langue relais, ça ne peut pas donner de bons résultats. Mal adaptée, une æuvre peut être regar- dée, mais elle ne sera pas appré- ciée à sa juste valeur. " François-Xavier Durandy a vécu dix ans en lnde avant de s'installer en Normandie, près de Lisieux, oir il vit en pleine campagne, entouré d'oies, de moutons et d'un chat, nommé Billu Barber (un titre de film hindi !). " Je n'ai pas un quart ni un huitième de sang indien, prévlent-il, L'expli- cation que l'on me donne en lnde, ce seraient mes vies antérieures ! En fait, je n'ai aucune explication, à part que cela vient de loin... " La loi du karma ? « Pas plus de 15 Bon élève, mais fâché avec les maths, c'est l'altemand qui l'a amené Une langue qu'il a apprise « pour le plaisir » et sans plan de carrière. * Dans le milieu des années 1990, on n'était qu'au début de la libéra- lisation de l'économie indienne, et les étudiants comme moi n'avaient aucune perspective. La langue internationale, c'était I'anglais. " [-'lnde, depuis, s'est imposée on traduirait un livre. ll faut aller à l'es- sentiel. " Ma règle, c'est pas plus de quinze signes à la seconde ", explique François-Xavier Durandy. C'est parfois frustrant. " Mais c'est amusant et stimulant intellectuelle- ment. Le sous-titrage, c'est ce qui pousse le traducteur dans ses re- tranchements. Si ça ne rentre pas par la porte, il faut essayer par la Texte : Anne BLANCHARD-LAZÉ. Photo : Stéphane GEUFROI. .i .',,,..ti 1l t. l '(i 
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 la communication en E-o. - par MONTAIGU le 12/11/2019 : 19:30 Une fois de plus, l'évocation de la difficulté pour communiquer en E-o.la communication en E-o. - par MONTAIGU le 12/11/2019 : 19:24 | Calendrier Webmaster - Infos Connexion  2 membres Les derniers inscrits 
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