ESPERANTO **
Ecrivains **
**
**
**
**
2013 AG-02
LE COIN CHRETIEN
Musiques
|
Actualités
Un été avec Homère - par MONTAIGU le 21/07/2018 : 12:33 En cette période de vacances, où beaucoup sont à la recherche d'un bon livre qui serait un indispensable compagnon pour ces jours qui laissent place au rêve, comment ne pas signaler: Un été avec Homère - de Sylvain Tesson. Ce petit livre de 250 pages, au format agréable, facile à glisser dans la poche, nous emmène vers îles grecques pour revivre la guerre de Troie à travers l'Illiade et l'Odysée. Les chapitres sont courts, les citations en écriture bleue sont significatives, les lignes de compréhension sont actuelles, bref une réussite. J'en suis à la deuxième lecture. Pour ceux qui trouvent dans la culture antique un bain de fraîcheur, mais n'ont guère de temps pour des ouvrages techniques, ce petit bijou fera leur bonheur. Fabuleux défi: des ordinateurs quantiques - par MONTAIGU le 23/06/2018 : 11:32 Une révolution scientifique est en route. Voyez en E-o. Eric Tabarly - par MONTAIGU le 18/06/2018 : 11:54 Eric Tabarly, cette légende tellement française. Il y a 20 ans, le célèbre marin disparaissait, dans la nuit du 12 au 13 juin 1998. En mer, comme il avait vécu. En homme libre qui ne se harnachait pas, ou rarement. Eric Tabarly a construit sa légende de son vivant; sa mort l'a fait entrer dans la mythologie. Lanti pendant la1ere guerre mondiale - par MONTAIGU le 10/06/2018 : 18:07 Le 18/09/1914, Lanti, qui sera le fondateur de SAT-Amikaro, est mobilisé comme brancardier sur le front. Ce jour là, il note dans son journal: " Aujourd'hui la canonnade se fait entendre avec une intensité, une violence extrême. C'est un roulement continu d'explosions. Comment les hommes qui sont près de ces terribles engins peuvent-ils supporter ce bruit infernal ? Il y a de quoi devenir fou... L'homme est grand...Aussi grand qu'il est petit ! J'ai l'impression que la lutte gigantesque, dont l'écho m'apporte le bruit, est sans précédent dans l'histoire. Jamais on n'aura vu un aussi effroyable carnage. C'est la lutte de la civilisation contre l'histoire... Les casques m'apparaissent comme d'étranges civilisateurs... Je pense que la force militaire d'une nation est en raison inverse du degré de culture intellectuelle, artistique, morale de la majorité des habitants... Tuer! Tuer ! ... Chez beaucoup de mes camarades - pas chez tous- je constate qu'ils tueraient avec joie, avec plaisir, avec une volupté sauvage...Ce sentiment transpire toujours dans les conversations que j'entends journellement. Toujours la loi du talion après deux mille ans de Christianisme." Nous n'étions qu'en 1914 ! La boucherie durerait encore 4 ans, et se renouvellerait 20 ans plus tard, plus violente encore ! Sans parler des boucheries staliniennes, plus sournoises mais bien réelles, suivies des maoïstes et de tant d'autres avec la complicité d' "intellectuels" qui nous ont vendu l'illusion communiste. groupe Kajto - par MONTAIGU le 26/12/2017 : 17:54 L'esperanto, langue maternelle - par MONTAIGU le 26/12/2017 : 17:43
“Ma langue maternelle est l’espéranto, voilà comment ça a changé ma vie”
« Il existe à peine 1000 natifs espérantistes dans le monde, et j’en fais partie. Pourtant, j’ai grandi dans une famille à priori tout ce qu’il y a de plus normal : un papa, une maman, un frère, une sœur, un chat… On habitait à la montagne, à Briançon. Mes parents étaient tous les deux français, ils n’avaient de prime abord aucune raison de parler une autre langue entre eux. En fait, c’est ma mère qui a initié toute la famille à l’espéranto. Elle s’était installée dans cette petite ville de montagne par amour pour mon père, mais elle rêvait de voyages et de rencontres avec d’autres cultures et adorait les langues. Un jour, elle est tombée sous le charme de l’espéranto et de l’ouverture sur le monde qu’il permettait. Mon père, plus réticent au départ, a fini par la suivre.
C’est un peu le bio de la linguistique. Résultat, à la maison, c’était un peu l’auberge espagnole tous les jours. On était inscrits dans des réseaux de voyageurs espérantistes de l’époque, qui se présentaient à l’époque sous forme de petits livrets. Dans notre grande maison, on recevait des gens du monde entier : des ministres chinois, une masseuse japonaise, une végan américaine, des cyclistes de tous les pays… Et avec eux, on communiquait toujours en espéranto. Avec mes grands-mères, les oncles et les amis de Briançon qui n’avaient pas appris cette langue, évidemment on gardait le français. A l’école aussi, bien sûr. Ça m’a permis de développer un vocabulaire en français que je n’ai pas aujourd’hui en espéranto, même si sur les sujets du quotidien, je préfère l’espéranto. Aujourd’hui, je parle sept langues dont certaines couramment, je parcours le monde de projet en projet pour des associations de développement durable et solidaire, et je continue d’échanger en espéranto avec ma famille. J’ai visité des dizaines de pays en étant hébergée dans les milieux espérantistes, j’y suis toujours accueillie à bras ouverts. L’espéranto m’a également aidée dans le cadre du travail. Par exemple, quand j’ai lancé une ONG au Vietnam, je me suis en premier lieu appuyée sur les réseaux de la langue. Pour me loger, pour recruter des stagiaires, etc… L’espéranto donne accès à une gigantesque communauté d’entraide.
Et puis il y a un véritable idéal, une philosophie de vie sous-jacents. Parler l’espéranto, c’est être citoyen du monde, pour de vrai. Contrairement à l’anglais, derrière lequel se cache un véritable pouvoir politique et économique, l’espéranto est une langue neutre, éthique et équitable. C’est un peu le bio de la linguistique. Pour autant, je reste la moins engagée de mes frères et sœurs pour le développement de cette langue. Je participe à très peu de festivals et de rencontres par exemple. J’ai reçu cette langue à ma naissance, je n’ai jamais fait la démarche de l’apprendre donc même si je suis consciente de tout ce qu’elle m’a apporté, j’en garde une vision assez utilitaire. Je ne sais pas si je ferai la démarche de l’enseigner à mes enfants, cela dépend de beaucoup de choses : la nationalité du père, le pays où nous vivrons, etc. Mais je sais que quoiqu’il arrive, il est fort probable que l’espéranto leur sera transmis. Ma mère, mon frère, ma sœur, leurs cousins et cousines s’adresseront à eux dans cette langue. »
Esperanto langue maternelle - par MONTAIGU le 26/12/2017 : 13:58 https://www.neonmag.fr/temoignage-ma-langue-maternelle-est-lesperanto-voila-comment-ca-a-changé-ma-vie-499401.html Australie: pas d''Aborigènes au Parlement - par MONTAIGU le 30/11/2017 : 11:09 Après leur Assemblée Générale, en mai dernier, à Uluru, les Aborigènes australiens exigent une représentation au Parlement. " mesure trop radicale", répond le Premier Ministre". Lire en E-o. Contrer la désinformation russe - par MONTAIGU le 25/11/2017 : 18:23 Izrael Lejzerowicz, étoile du mouvement espérantiste polonais entre les deux guerres mondiales, qui mourut avec toute sa famille dans un camp d'extermination, aurait reproché aux espérantistes - selon ce que j'ai lu- , d'être restés silencieux en un moment où il aurait fallu élever la voix. En sa mémoire, j'ai traduit en E-o un éditorial sur un sujet brûlant. Que connaissons-nous de nouveau ? - par MONTAIGU le 21/11/2017 : 19:34 Conversations entre l'écrivain J-C Carrière et deux astrophysiciens renommés. Tente ans après Conversations sur l'invisible, qui avait connu un vrai succès, le cinéaste et romancier J-C Carrière a repris ses rencontres avec les astrophysiciens Jean Audouze et Michel cassé. Voyez en E-o. | Calendrier
Webmaster - Infos
Connexion
2 membres
Les derniers inscrits
- KylianFr - JEANPaul
Connectés : 61 Visites
visiteurs visiteurs en ligne Qui visite
En ligne Russia : 28 United States : 2 Visiteurs/pays cette année
Vous venez de : |